samedi 26 septembre 2020
18 ans après que retenir de la crise du joola?
Un 26 septembre 2002 alors, le joola un navire qui dessert la partie sud du pays vers le nord par voie maritime vient de finir sa traversée dans les eaux de la Gambie à Sagnan.
Une nouvelle qui plongea tout le pays dans la consternation totale et l'émoi, du quai du port autonome de Dakar on apercevait la tristesse qui se lisait sur le visage plein de désespoirs de ces parents venus attendre désespérément le retour hypothétique de leur famille.
A bord , avaient embarqué plusieurs personnes(sénégalais, étrangers, fonctionnaires, membres de l'équipage et personnel militaires entre autres), ce drame vient de toucher le monde entier.Ainsi, le vouloir de s'informer s'est accru, au fil des heures qui ont suivi, la prolifération de renseignements de tous genres s'est répandue.
Les informations relayées par les presses nationales comme internationales militaient en défaveur de retrouver des survivants, le coque renversé, la marine surprise par la nouvelle, le Sénégal au bout du souffle qui vient de mesurer encore sa capacité de riposte face à une catastrophe maritime, sont entre autres sentiments qui prévalaient.
A 20 h le discours du Président de l'époque attendu, Wade après avoir salué la mémoire des regrettés, va aussi prendre pour responsable l'état du Sénégal qui va indemniser les victimes et poursuivre l'enquête autour de l'autorisation de la mise à l'eau du bateau qui présentait des failles, selon les spécialistes.
voici retracé le film cauchemardesque d'un événement qui mit le noir dans la vie économique du pays et les stigmates sont visibles à travers les familles affectées.
Si bilan à faire, y étaient pour responsables, les sénégalais s'étaient accordés sur l'indiscipline notoire des concitoyens, la légèreté, la négligence, la cupidité et enfin la recherche à tout prix de profit ont engendré en somme cette plaie que le pays a du mal à soigner.
En son temps, les voix autorisées ont sonné l'alarme pour traduire leur sentiment vis à vis des dérives constatées et les comportements humains qui frisent à la limite l'irrationnel.
Malheureusement, les ingrédients qui avaient conduit ce drame sont présents dans nos actes quotidiens et reproduits de la façon la plus piètre sans sourcils encore moins de réticence. A quand le réveil ou le sursaut.
mercredi 23 septembre 2020
12 ans après son érection comme région, Sédhiou réclame toujours

Sédhiou est une région qui a vu le
jour en 2008, depuis lors, cette nouvelle entité administrative croule sous le
poids du déficit criant d’infrastructures et l’absence des services régionaux.
Dans plusieurs domaines, les service
dits régionaux sont rattachés à Kolda comme celui des mines et transports
terrestres, même aussi pour la douanes tout comme celui de la Gendarmerie qui
attend jusque-là d’étrenner les locaux de sa compagnie ; la perception
régionale dépend intimement de Kolda pour des questions de trésorerie.
C’est à une date récente que le
tribunal de grande instance a été mis sur pied avec des lenteurs et des
conflits d’intérêts entre celui d’instance.
Au-delà des services qui manquent, les
constructions administratives peinent à être effective, l’inspection
d’académie, le conseil départemental, le service régional de la jeunesse,
service régional des Sports, AEMO, l’action sociale, la planification et
statistiques, environnement entre autres sont dans les maisons conventionnées,
face à leur étroitesse certains bureaux n’arrivent pas à s’y contenir.
C’est le même visage que présente
les départements de Goudomp et Bounkiling qui n’arrivent pas à trouver des
services départementaux, face aux urgences les clients sont contraints de se
rendre à Sédhiou où le régional fait office cumulativement de départemental.
Aux côtés de ces manquements qui
rythment la vie des habitants de la région, ils jugulent leur mal en regardant
tous les jours les chantiers entamés mais inachevés, pour cette liste, il ne
faut citer que : l’ENO, IA, Stade municipal et l’attente de la réalisation
de la Zone franche industrielle pour assouvir la souffrance des jeunes en
matière de chômage et de l’employabilité des jeunes.
Les structures bancaires qui ont des
capacités assez puissantes de mobilisation des fonds sont absentes de
l’environnement financier de Sédhiou sauf que la BNDE et la BHS qui ont
implanté une succursale à une date récente.
Les enjeux sur la vulnérabilité des communautés planent sur la sécurité de nos états

Le comité d'appui et de soutien au développement économique du Sénégal(C.A.S.A.D.E.S) et FKA, ont posé le débat sur la situation sécuritaire dans les zones frontalières de la Casamance à la salle de réunion de kadiandoumaye pour deux jours en réunissant plusieurs acteurs comme les ONG et les Médias.
Pour l'approche d'une telle thématique, les organisateurs ont fait appel à la communication d'un colonel à la retraite du Nom de Edouard Gueye du centre des hautes études de défense de sécurité. Selon le conférencier, la question de sécurité embrasse plusieurs états Ouest- africains qui dans sa note introductive, rappelle la création des rebellions armées, du cadre géographique dégarni et l'absence de l'état dans des zones reculées. Cette situation est favorable pour les bandes armées qui opèrent dans ces localités et dictent leur loi aux populations, elle se présentent souvent en sauveur pour finalement manipuler les consciences fragiles, surtout les jeunes. Plus loin , il parle de l'adaptation des forces aux nouvelles méthodes de guerres asymétriques où, les combattants engagent ls forces régulières de façon déloyale et en mettant les vies civiles en jeu. La présences de la menace sécuritaire est inquiétante surtout quand les armées ont échoué dans la coalition contre les islamistes, a précisé notre interlocuteur. Sous ce climat d'insécurité totale aucun état est exempt d'une quelconque frappe terroriste. Les maliens ont pour leur majorité un sentiment d'abandon du pouvoir central mais leur mal est renforcé par la crise libyenne et la zone saharo-sahélienne, ces facteurs suscités sont défavorables à l'implantation d'une paix durable et définitive, rassure-t-il.
Cette partie abordée ,n'est qu'un aperçu de la situation générale, revenant sur le conflit en Casamance, le colonel à la retraite fait une jonction d'abord de soldat qui a sillonné tout cet espace mais aussi insiste sur les imbrications culturelles des états par rapport au passé des peuples qui se veulent des redevabilités. Le conflit en Casamance s'est accentué par la prolifération des armes automatiques disponibles en Guinée-Bissau, retrouvées auprès des vétérans de la guerre de libération(PAIGC), pendant longtemps, l'armée sénégalaise de par la mobilité des personnes favorisée par la porosité des frontières, a souffert de ces combats asymétriques, peste-t-il.
Poursuivant son discours, le colonel Gueye a rappelé le nouveau visage du conflit dans cette partie sud du Sénégal, caractérisé par le trafic du bois aux ramifications multiples, la zone de transit de la drogue dure, il faut aussi noter les structures qui vivent de cette crise; sans préciser davantage la division interne du MFDC qui depuis plusieurs années se font la guerre entre chefs locaux.
mercredi 9 septembre 2020
Extrait Daffé Bayo jeuens wandifa fr
Après des accusations sur le foncier, les jeunes favorables au maire répondent et recadrent leurs détracteurs comme Yen a marre et autres qu'ils pointent du doigt.
mardi 8 septembre 2020
Les jeunes du camps du Maire recadrent Guy Marius Sagna et Aliou Sané
Après plusieurs sorties du collectif de défense des intérêts de Wandifa, aussitôt, les mouvement de la société civile à l'image de Yen a marre sont montés au créneau pour saisir de cette affaire et demandent aux autorités judiciares de faire la lumière.
Une situation jugée de trop par les jeunes de son camps " il s'appelle Daffé bayo, nous avons été surpris de l'attitude de Guy Marius Sagna, qui s'est permis de s'inviter dans une affaire dont il ignore les contours, de son avis, la société civile doit occuper une fonction de neutralité non de prendre part", a-t-il affirmé.
dimanche 6 septembre 2020
Un enfant de 2 ans rend l'âme à Soumboundou
bituelle que le mur du bâtiment s'est écroulé sur eux et tua cet enfant de 2 ans.
vendredi 4 septembre 2020
7 personnes sous les verrous pour avoir inhumé un garçon sans autorisation.
La brigade de gendarmerie de Sédhiou vient de mettre la main sur 7 personnes dont un adjoint au maire et un imam dans le village de sorance à l'ouest de la capitale régionale.Selon la source contactée sur place, c'est l'inhumation d'un garçon de vingt mois qui a fait une chute mortelle dans un puits, face à la lenteur des secours, ces populations ont agi de leur propre chef.C'est alors, sous le poids du désemparement et la tristesse, les habitants de sorance ont commis cet acte fatal.
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Chaque année des hectares de forêt brulent à Sédhiou, menacent le couvert végétal , la survie du cheptel et pèsent un lou...
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21 jeunes à la recherche de fruit sauvage appelé communément"maad", ont reçu la visite de bandes armées qui les conduits en ...