mercredi 25 décembre 2019

Rassemblement des Artistes musiciens de Sédhiou(RAMS),pousuivi pour escroquerie , faux et usage de faux.

Une rondelle somme de 16 millions de francs CFA,a été escroquée par des artistes et musiciens de sédhiou sous le couvert d'une association fictive,un des membres arrêté ,le reste de la bande en cavale ,recherché par les pandores  de Sédhiou RAMS.


La brigade de gendarmerie de Sédhiou vient de réaliser un grand coup à en croire aux personnes proches de l'enquête,une bande de malfaiteurs vient d'être mise hors d'état de nuire.

En effet,tout est parti d'une association culturelle qui se veut d'autonomiser les artistes de la région,en inscrivant des activités de développement dans leur agenda.Pour ce faire,ces artistes ont bénéficié d'une reconnaissance administrative leur permettant d'agir au nom du groupe.

 Cette possibilité qu'ils détenaient ( Alioune Badara Badji,Kélountang Danfa,Amadou bouyé Diaite et cheikh Oumar Dramé), en ont profité pour falsifier les documents et user du faux pour atteindre leurs objectifs.Selon une source proche de l'enquête,nous révèle que parmi les victimes nous comptons :le conseil départemental de sédhiou,une direction du ministère de la culture,en plus des projets montés au nom de l'association et sont  détournés à leurs fins.
 Les autres membres de l'association ignorant tout ce qui se passe ,n'avaient que pour constater sous le regard impuissant.Le train de vie de ces artistes devenus agents de développement a vite grimpé.
Nous avons pu joindre Alioune Kéba Badiane du centre culturel régional qui confirme la signature de convention entre la dite association et les structures étatiques.
 Ces personnes suscitées ont tenu une rencontre à l'insu des autres membres pour renouveler le bureau à leur guise de l'avis  Faly Goudiaby victime.Nous illustrons ce passage par cet article de "Thiey Dakar"
Le Rassemblement des artistes et musiciens de Sédhiou a bénéficié de 7 millions en cfa du fonds des cultures urbaines pour la réalisation du projet intitulé « création d’un centre de formation aux métiers des arts urbaines.
Pour éviter que ce financement tombe dans ce travers, la conventions énumère de façon claire et précise la manière dont le projet doit être géré. Pas question de détournement d’objectifs, des pièces justificatives doivent accompagner toute dépense.
 Au-delà de ces fonds ,ces bandits financiers comme décrits dans l'enquête ont fait des victimes,ils mènent une belle vie pendant que leurs  amis broient le noir.
Sur instruction du juge en charge du dossier,ils sont invités à prouver la provenance des fonds, en plus, donner plus d'informations sur leur modus operandi, ont argué les enquêteurs.

 Ces derniers sont  décidés plus que jamais à faire la lumière,ont émis des avis de recherche pour qu'ils répondent à la justice, nous a confié une source proche.

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